« C'est signe que l'enquête avance bien. L'information peut provenir d'un témoin qui a vu le véhicule suspect lancer un objet le long de la route. Mais selon moi, c'est probablement davantage quelqu'un qui est impliqué dans la tentative de meurtre qui s'est décidé à parler. Il faut que ce suspect ait été dans l'auto du tireur pour indiquer aux policiers où se déplacer exactement », affirme Marcel Savard, ancien directeur général adjoint à la SQ.